Chat nez qui coule : causes et remèdes efficaces

Avant de tirer la sonnette d'alarme, il faut savoir qu'un chat a, de manière naturelle, le nez modérément humide. Cependant, si vous trouvez que celui-ci coule excessivement ou depuis trop longtemps, vous pouvez suspecter un rhume chez votre petite boule de poils.

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En effet, votre chat peut s'enrhumer et tomber malade, et cela s'accompagne de nombreux symptômes que vous pouvez surveiller vous-même. Les causes d'un rhume sont également nombreuses et sont associées à divers agents pathogènes (bactéries, virus, etc.), des tumeurs ou encore à des allergies que nous aborderons plus tard.

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a. Les signes courants d'un rhume chez le chat

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Éternuements fréquents et répétés

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Les éternuements chez les chats sont le signe d'une gêne respiratoire, et celle-ci est d'autant plus importante que les éternuements sont fréquents et répétés.

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Nez qui coule ou écoulement nasal séreux

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Comme évoqué précédemment, une truffe saine est une truffe humide, mais si elle se met à couler de manière abondante, vous pouvez penser à un rhume chez votre compagnon.

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Il existe différents types de sécrétions nasales et elles se classent en fonction de leur texture :

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Léchage excessif du nez

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Lors d'une séance de toilettage, il est tout à fait normal que votre boule de poils se nettoie la truffe. Mais si vous remarquez que votre chat se lèche excessivement le nez, il est peut-être temps de prendre rendez-vous chez votre vétérinaire pour savoir ce qui le gêne autant !

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Toux légère

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Associés aux éternuements, une toux, bien que légère, peut être le signe d'un rhume chez votre petit compagnon à quatre pattes !

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Perte d'appétit ou grande fatigue

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De manière plus générale, si vous sentez votre chat affaibli, fatigué et que cette apathie s'accompagne d'une perte d'appétit, il est conseillé de prendre rendez-vous chez votre vétérinaire afin de faire un examen physique complet de votre compagnon, examen qui se révèle d'autant plus important que votre chat vieilli afin de déceler d'éventuels problèmes sous-jacents à ces symptômes.

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b. Les symptômes respiratoires à surveiller

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Respiration rapide et difficile

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Lorsque votre chat est atteint d'un rhume, sa respiration devient plus rapide et plus difficile car il est obligé de fournir un effort supplémentaire lors de l'inspiration, afin d'assurer un apport suffisant d'oxygène à ses poumons, mais aussi lors de l'expiration (qui est un phénomène passif ne nécessitant pas d'efforts musculaires chez un chat en bonne santé) car l'air sortant est confronté à la gêne présente dans ses voies respiratoires.

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Respiration bruyante ou sifflante

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En parallèle d'une respiration plus rapide et difficile, celle-ci peut également devenir bruyante mais cela n'est révélateur d'une affection respiratoire que si vous remarquez qu'elle fait plus de bruit que d'habitude (si votre chat respire bruyamment depuis sa naissance, il est plus probable que cela soit dû à un problème héréditaire qu'à un rhume).

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Sans être particulièrement bruyante, si la respiration de votre chat vous semble sifflante et est en harmonie avec les mouvements respiratoires visibles au niveau de sa cage thoracique, elle est probablement le signe d'une affection des voies respiratoires de votre petit compagnon.

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Gêne respiratoire

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Les deux points précédents nous ont montré à quel point il est important de surveiller la respiration de votre chat afin d'y détecter au plus vite une gêne et de pouvoir amener votre chat chez votre vétérinaire.

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Yeux larmoyants

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Bien que ce symptôme ne concerne pas directement le nez des chats, il n'en reste pas moins un élément très important à surveiller lors d'une suspicion de rhume car les sécrétions oculaires sont très fortement liées aux sécrétions nasales. On retrouve par ailleurs les mêmes types de sécrétions pour les yeux que pour le nez.

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a. Le coryza

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Le coryza, bien plus qu'un simple rhume

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Au-delà d'un simple rhume, la plupart du temps inoffensif, les symptômes évoqués précédemment peuvent être le signe d'un coryza, une infection des voies respiratoires dont la gravité est plus importante.

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Les symptômes distinctifs du coryza

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Surnommé la "grippe du chat", le coryza est dû à deux virus très connus de vos vétérinaires : le calicivirus félin (FCV pour Feline CaliciVirus) ou à l'herpèsvirus félin (FHV pour Feline HerpesVirus).

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En plus de troubles respiratoires fréquents, le coryza s'accompagne de fièvre rendant votre chat apathique et d'écoulements nasaux qui sont d'abord muqueux et traduisent une rhinite inflammatoire, mais peuvent devenir par la suite mucopurulents si une surinfection bactérienne se développe.

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Différences entre le FHV et le FCV

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Bien que responsable de symptômes identiques, chaque virus cause en plus, des symptômes distincts :

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• Le FHV est par exemple responsable d'ulcères de la cornée et d'écoulements oculaires comme décrit précédemment, qui peuvent gêner la vue de votre chat s'ils s'accumulent et sèchent en formant des croûtes.
• Le FCV est quant à lui responsable d'ulcères buccaux et linguaux.

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Les groupes à risque

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Pas de panique cependant, le coryza touche principalement les chatons, les chats âgés et les chats porteurs du FIV (sida du chat) : des catégories de chats dont le système immunitaire est trop faible pour se défendre seul correctement contre les agents pathogènes extérieurs.

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Heureusement, il existe un vaccin contre le coryza, qui fait partie des vaccinations essentielles pour assurer la santé de votre chat. C'est un moyen crucial de les protéger contre cette maladie.

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b. La chlamydiose

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En plus des virus dont nous venons de parler, un rhume chez votre chat peut être d'origine bactérienne si l'agent pathogène qui en est la cause est Chlamydophila felis.

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La chlamydiose féline est très contagieuse et touche les voies respiratoires ainsi que les yeux des chats atteints, causant des conjonctivites principalement mais aussi des sécrétions nasales et oculaires, de la fièvre et de la fatigue.

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Elle est aussi potentiellement transmissible à l'homme, avec des symptômes similaires à ceux de nos chats et peut être une complication d'un coryza viral. La vaccination existe pour cette maladie et s'administre en même temps que la souche contre le coryza.

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c. La cryptococcose

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La cryptococcose chez le chat est une infection fongique par Cryptococcus sp. L'infection se déclare en premier lieu dans l'appareil respiratoire supérieur des chats, après que ceux-ci aient inhalés des spores présents dans l'environnement.

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La cryptococcose cause des éternuements, des ronflements bruyants, un gonflement et une déformation de la truffe ainsi que des écoulements hémorragiques. La maladie est aussi responsable de nombreux troubles ophtalmologiques.

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L'agent fongique peut par la suite se propager via le sang et toucher d'autres organes, tels que la rate, le pancréas, le système urogénital, le système nerveux, la peau, les articulations, les nœuds lymphatiques, etc...

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d. La rhinite allergique

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Bien que souvent oubliée ou étudiée en dernier recours, l'hypothèse d'une rhinite allergique peut être envisagée si votre petite boule de poils a le nez qui coule abondamment.

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Les agents allergiques sont nombreux, à commencer par les pollens mais aussi les produits d'entretien que vous utilisez ou tout simplement la poussière.

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Il est intéressant de noter que certaines litières, étant très poussiéreuses de par leur composition, peuvent induire des écoulements nasaux chez votre chat et que le passage à la litière peut devenir désagréable pour lui.

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e. Un corps étranger

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N'ayant pas de mains pour explorer le monde qui les entoure, les chats et surtout les chatons très curieux utilisent leur truffe pour renifler tous les objets qui sont à leur portée.

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Par conséquent, il n'est pas rare qu'un corps étranger se retrouve coincé dans les narines de votre chat, à l'origine d'éternuements et d'écoulements. Le problème est d'ailleurs plus fréquent pour les chats ayant accès à l'extérieur.

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Attention cependant à ne pas prendre cela à la légère car en fonction de ce qui s'est coincé, la gêne et les conséquences pourront être plus ou moins graves (une peluche de laine, un brin d'herbe ou une épine n'auront pas la même gravité !)

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f. Un problème dentaire

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Un problème dentaire chronique peut être une cause d'écoulements nasaux, car la racine de certaines dents se trouve très proche des sinus. Ainsi une infection peut se transmettre et une affection dentaire se transforme en un problème plus général et parfois plus grave.

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g. Une tumeur nasale

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L'une des dernières causes de sécrétions nasales, bien que plus rare, peut être une tumeur nasale. Il en existe plusieurs types, tels que les simples polypes (excroissances de cellules de la muqueuse de la cavité nasale, qui sont bénignes) ou les lymphomes, qui sont des tumeurs malignes.

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Avant de penser au pronostic le plus sombre, n'hésitez pas à prendre rendez-vous chez votre vétérinaire pour lui demander conseil !

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Face à une éventuelle tumeur nasale chez votre chat, les frais médicaux peuvent grimper en flèche, entre les biopsies et les radiographies, ça peut coûter cher ! Heureusement, avec Dalma, vous avez une solide protection financière.

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Après avoir étudié ensemble les différentes causes d'un rhume, il apparait clair que celui-ci a de nombreuses origines et que votre compagnon à quatre pattes peut présenter les symptômes d'un rhume sans être atteint d'un coryza.

a. Symptômes respiratoires du coryza

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Éternuements fréquents

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Les éternuements fréquents sont un des premiers signes que l'on remarque chez un chat atteint de coryza, bien que l'on ait tendance à minimiser la gravité de ce symptôme.

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Écoulements du nez (jetage nasal)

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Associés aux éternuements, les écoulements nasaux sont un autre symptôme équivoque d'un coryza chez votre chat, bien que ce ne soit pas la seule maladie qui puisse les causer. Nous avons vus plus tôt dans l'article quels étaient les différents types d'écoulements, on retrouve ici des sécrétions muqueuses, voire mucopurulentes si une surinfection bactérienne se développe en parallèle.

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Toux chronique

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Le coryza étant une maladie virale (principalement, bien que la bactérie Chlamydophila felis soit aussi un agent causal de ce syndrome) ayant pour cible les voies respiratoires des chats, une toux chronique peut s'installer chez votre chat s'il est atteint. Elle est le résultat d'une inflammation de la muqueuse des voies respiratoires.

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Difficultés à respirer

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Que sa respiration soit plus difficile, plus rapide ou plus bruyante, elle témoigne d'une gêne des voies respiratoires et elle est l'un des signes les plus remarquables à votre domicile.

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b. Symptômes oculaires de la maladie

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Écoulements des yeux

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En plus des symptômes respiratoires que le coryza entraîne, on retrouve des symptômes oculaires dont l'importance n'est pas à négliger. Premièrement, les yeux produisent aussi des sécrétions muqueuses et/ou mucopurulentes, qui peuvent s'accumuler dans le coin des yeux, sécher en formant des croûtes et venir gêner la vision de votre chat.

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Pour cela, les vétérinaires vous conseilleront généralement de nettoyer ces sécrétions avec un nettoyant oculaire vétérinaire ou du sérum physiologique plusieurs fois par jour afin de venir dégager les yeux de votre chat.

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Conjonctivite (œil rouge)

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Une conjonctivite, qui est inflammation de la cornée se traduisant par une rougeur importante de l'œil, est également retrouvée chez les chats malades.

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c. Autres symptômes du coryza

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De façon plus générale, une forte fièvre (avec une température supérieure à 40°C), un état de fort épuisement entraînant chez votre chat une léthargie prononcée, une perte d'appétit accompagnée d'une perte d'odorat, un refus de boire sont des signes évocateurs d'un coryza, bien qu'ils ne soient pas spécifiques de cette maladie.

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On note également, pour les chats dont le coryza est le résultat d'une infection par le FCV la présence de petites plaies, appelés ulcères, dans la bouche ou sur la langue.

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a. Prenez rdv chez le vétérinaire pour établir un diagnostic

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Afin de savoir ce qui gêne autant votre compagnon à quatre pattes, vous pouvez prendre rendez-vous chez votre vétérinaire afin qu'il examine votre chat de la truffe à la queue pour établir un diagnostic précis et mettre en place un traitement adapté.

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b. Nettoyez délicatement son nez et ses yeux

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Si vous remarquez que les écoulements sont trop abondants au niveau de son nez ou de ses yeux, vous pouvez tout à fait nettoyer vous-même ces zones à l'aide d'une petite compresse stérile imbibé de nettoyant oculaire ou de sérum physiologique afin de soulager votre chat !

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c. Stimulez son appétit avec de la nourriture humide

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Le plus important lorsque votre chat tombe malade est de s'assurer qu'il continue de manger et de boire, car un chat enrhumé aura tendance à refuser sa nourriture et à se déshydrater. Vous pouvez stimuler son appétit à l'aide de nourriture humide, qui assure ainsi une prise de nourriture en maintenant une hydratation correcte.

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d. Laissez-le se reposer au chaud

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Un peu de calme est également nécessaire pour remettre votre chat d'aplomb ! Évitez de trop le stimuler et laissez le se reposer au chaud, afin de retrouver votre chat dans une forme olympique après quelques jours d'un traitement adapté, conseillé par votre vétérinaire.

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a. Faire un examen clinique chez le vétérinaire

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Afin de s'assurer qu'il s'agisse bien d'un coryza, la première chose à faire est d'emmener votre compagnon chez son vétérinaire pour qu'il puisse l'examiner et poser un diagnostic.

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b. Suivre le traitement antibiotique prescrit

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Après votre visite chez le vétérinaire, si un traitement antibiotique a été mis en place, assurez vous de le suivre du mieux possible car la rémission de votre chat en dépend !

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Il faut notamment éviter d'arrêter le traitement trop tôt car il est possible que votre petite boule de poils fasse une rechute qui pourrait être encore plus grave que la première infection.

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c. Soulager la rhinite avec des inhalations (aérosolothérapie)

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Afin de soulager les voies respiratoires de votre chat, il est parfois nécessaire de faire des inhalations qui diffusent un anti-inflammatoire directement dans son nez, ce qui soulage grandement l'inflammation de ses cavités nasales.

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d. Vacciner votre chat pour prévenir le coryza

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Cette mesure n'est efficace que contre le coryza, mais le plus simple pour éviter que votre compagnon ne tombe malade reste de le vacciner contre cette maladie très contagieuse et largement répandue dans les communautés de chats (famille d'accueil, chenil, animalerie, etc...).

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Le protocole vaccinal est composé de deux vaccinations à 4 semaines d'intervalle, suivi d'un rappel annuel.

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a. Pourquoi mon chaton à le nez qui coule ?

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De nombreuses causes peuvent entraîner des écoulements nasaux chez votre chat : des maladies virales (coryza), bactériennes (chlamydophilose), fongiques (cryptococcose), des allergies, un corps étranger qui se serait bloqué dans son nez, et plus rarement des tumeurs.

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C'est pourquoi il est vivement conseillé de prendre rendez-vous chez votre vétérinaire pour savoir ce qui cause ces écoulements.

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b. Mon chat a le nez qui coule vert, jaune ou transparent : que faire ?

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La couleur et la texture des sécrétions nasales sont proportionnelles à la gravité de la situation.

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Plus elles s'éloignent d'un liquide fluide et transparent, plus le problème est important : une couleur verte associée à une texture plus visqueuse est généralement synonyme d'une surinfection bactérienne, tandis que qu'une couleur rouge traduit la présence d'un saignement quelque part dans les cavités nasales de votre chat, que ce soit à cause d'un corps étranger, d'une tumeur ou d'une intoxication.

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